De façon générale, la recherche d’une cause d’infertilité chez l’homme débute par un spermogramme. Cet examen médical permet d’analyser la qualité et la quantité des spermatozoïdes présents dans l’éjaculat. Cependant, s’il est généralement facile de se soumettre à un spermogramme, il peut être bien plus compliqué de comprendre les termes indiqués dans le résultat d’analyse de ce prélèvement.

Les diverses altérations du sperme possibles comprennent ainsi :

• l’oligospermie ou oligozoospermie, qui désigne un faible nombre de spermatozoïdes ;
• l’asthénospermie ou asthénozoospermie, caractérisée par une faible mobilité des spermatozoïdes ;
• la nécrospermie ou nécrozoospermie, caractérisant la présence d’un très grand nombre de spermatozoïdes morts (plus de 42%) ;
• l’azoospermie, qui désigne l’absence totale de spermatozoïdes dans le sperme ;
• et enfin la tératospermie, désignant une morphologie anormale des spermatozoïdes.

Notons que ces termes peuvent malheureusement se cumuler. Il est donc possible d’avoir à la fois une oligospermie, une asthénospermie et une tératospermie : on parle d’oligo-asthéno-tératospermie (OATS). Lorsqu’elle est sévère (moins de 1 million de spermatozoïdes par ml, pas ou très peu de mobiles, très nombreuses formes anormales), elle se fait aussi appeler cryptozoospermie.

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Soigner définitivement l’azoospermie naturellement

Définition d’oligospermie sévère

Rappelons que le diagnostic de l’oligospermie est possible grâce à la réalisation d’un spermogramme. On parle d’oligospermie lorsque l’éjaculat contient un nombre anormalement bas de spermatozoïdes. Selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), il y a oligospermie lorsqu’une concentration inférieure à 20 millions de spermatozoïdes par millilitre (20.106/ml).

Par ailleurs, il existe des degrés d’oligospermie :

• elle est dite modérée lorsque la numération est comprise entre 10 et 20.106 spermatozoïdes/ml ;
• légère lorsque la numération est comprise entre 5 et 10.106 spermatozoïdes/ml ;
• elle est considérée comme sévère lorsque la numération est inférieure à 5.106 spermatozoïdes/ml.

Notons que ces fourchettes peuvent varier d’un centre de procréation médicalement assistée à l’autre, certains donnant plutôt les intervalles suivants :

• oligospermie légère avec 5 < numération < 14 .106 spermatozoïdes/ml ;
• oligospermie modérée avec 1 < numération < 5 .106 spermatozoïdes/ml ;
• ou oligospermie sévère lorsque la numération est inférieure à 1 million de spermatozoïdes (1.106 spermatozoïdes/ml).

Oligospermie Cause Traitement Naturel: principales causes

Différentes causes peuvent être à l’origine d’une oligospermie, parmi lesquelles :

• une varicocèle testiculaire, importante dilatation variqueuse (varices) des veines du cordon spermatique, situées dans les bourses, au-dessus et autour de chaque testicule ;
• un défaut ou une carence hormonale ;
• une infection ayant entraîné une obstruction des canaux déférents ou une inflammation des vésicules séminales ;
• une malformation testiculaire ;
• une torsion testiculaire mal soignée ;
• une anomalie génétique ;
• des traitements médicamenteux (chimiothérapie, radiothérapie…) ;
• une exposition des testicules à des températures élevées ;
• etc.

Il est important de préciser que, selon sa ou ses causes, une oligospermie peut être réversible ou irréversible.

Oligospermie Cause Traitement Naturel: Quels traitements contre l’oligospermie ?

Lorsqu’elle est légère et ne s’accompagne pas d’une autre anomalie du sperme, l’oligospermie n’est pas nécessairement un obstacle pour la fertilité, puisqu’il ne suffit que d’un seul spermatozoïde bien formé pour féconder l’ovule. Toutefois, il peut être bon d’adopter des mesures hygiéno-diététiques en guise de traitement naturel à l’oligospermie. Pour essayer d’améliorer la spermatogenèse, vous devez :

• arrêter ou au moins diminuer alcool, tabac, caféine ;
• garder un indice de masse corporelle normal (compris entre 18 et 25 kg) ;
• faire du sport régulièrement ;
• veiller à garder une alimentation saine et équilibrée.

Parfois, refaire un spermogramme au moins 72 jours après le premier examen permet d’infirmer ou de confirmer l’oligospermie, car un épisode grippal ou simplement un état fiévreux peut avoir perturbé la spermatogenèse de façon provisoire.

Si la cause de l’oligospermie est connue et peut être prise en charge (une infection par exemple), la qualité du sperme peut être améliorée par des traitements médicamenteux adaptés. C’est le cas par exemple de la Thérapie N°6 : Remède naturel Stérilité masculine.

Lorsque l’oligospermie est sévère et/ou associée à une autre anomalie du sperme, comme une tératospermie et/ou une asthénospermie, on peut parler d’infertilité masculine. Pour la traiter et tenter de mener à bien une grossesse malgré cela, on pourra avoir recours à une thérapoe naturelle.

Pour obtenir donc le remède ou pour toutes préoccupations liées aux problèmes de fertilité aussi bien chez la femme que chez l’homme vous pouvez contacter le phytothérapeute en appelant le +229 67 31 11 12 ou par WhatsApp en cliquant sur le bouton WhatsApp. Il existe également des causes qui sont a l’origine de l’infertilité masculine.

Quelques causes hormonales

L’infertilité peut être due à un hypogonadisme, c’est-à-dire une sécrétion insuffisante de FSH et LH qui régissent la spermatogenèse, avec pour conséquence une azoospermie dite sécrétoire. Cet hypogonadisme peut avoir différentes origines :

• certaines anomalies congénitales comme le syndrome de Klinefelter qui touche 1 garçon sur 600. Dû à la présence d’un chromosome X supplémentaire, ce syndrome est présent dès la naissance mais souvent les manifestations ne sont visibles qu’a` la puberté, avec une grande variabilité d’expression mais un signe constant, l’infertilité. Le syndrome de Kallmann-Morsier entraine également un hypogonadisme.
• une tumeur hypophysaire peut altérer le fonctionnement de l’axe hypothalamo-hypophysaire à l’origine de la sécrétion des gonadotrophines (KH et FSH) ;
• une maladie générale comme le diabète ou l’hyperthyroïdie peut avoir un impact sur la chaine hormonale et donc la spermatogenèse.